Bédés

Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 18:34

Attention, cette bédé contient des propos et des situations qui pourraient choquer la sensibilité de certains lecteurs. En lisant l'intégralité de ces 6 articles vous vous engagez à en accepter les conditions. Si cela n'était pas le cas, veuillez avoir l'obligeance de fermer cette fenêtre immédiatement.

Le lendemain, Racquel recevait quelques amies très spéciales pour une après-midi de bridge. Il allait bientôt être l’heure du dîner, mais, auparavant, Racquel avait prévu quelque chose de très special. Elle invita ses amies à la suivre jusqu’à la chambre de Belinda. Un seul couvert y avait été dressée et la jeune fille était assise sur l’une des deux chaises qui la bordaient. Debout à côté d’elle, Cassandra Whitman lui tenait compagnie, habillée en soubrette.

Cassandra avait 28 ans, c’était une femme très soignée, avec ses longs ongles manucurés et d’épais cheveux noirs et longs. Elle avait été la confidente d’Angela Grisham et aussi sa babysitter pendant de longues années. Elle avait un penchant nettement pronnoncé pour les rapports sexuels extrêment pervers.

– Il y a un repas délicieux qui nous attend et tante Angela et maman t’ont réservé le plat principal. Déclara Racquel en soulevant sa jupe et en baissant sa culotte.

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Puis, elle monta sur la table et s’accroupit au-dessus d’une assiette. Quelques grognements lui échappèrent et un petit pet s’échappa de son anus. Elle sourit à ses amies et poussa un "Ouuups" comique.

Un moment plus tard, une grosse crotte apparut à la sortie de son anus dilaté et se mit à descendre vers l’assiette. Rapidement, elle fut suivie par une deuxième, puis une troisième. Au même moment quelques gouttes de pisse gouttèrent entre les lèvres de son sexe.

Elle réclama le pichet et y vida sa vessie.

Lorsqu’elle en eut terminé, Angela prit sa place sa place sur la table et ajouta ses propres excréments à ceux, déjà volumineux de la maîtresse de maison.

Les spectatrices n’en croyaient pas leurs yeux, ou leurs oreilles, mais toutes deux étaient très excitées et la scène à laquelle elles venaient d’assister rajoutait à leurs émois. L’une d’entre elles avait empaumé son pubis à travers sa robe et l’autre, plus en chair tout en étant sexy, avait placé sa main sur le bas de son ventre et fixait la scène avec une expression rêveuse.

Cassandra, qui avait accepté de venir renforcer les deux femmes pour le dressage de Belinda, tenait une cuillère dans une main et un petit fouet dans l’autre. Le petit sourire qu’elle affichait en coin, ne laissait aucun doute sur le fait qu’elle allait se charger de nourrir la petite salope.

Belinda avait été revêtue d’une tenue de petite fille constituée d’une robe, de mitaines et d’un bonnet de chérubin ridicule. Elle avait dû s’asseoir dans une chaise à haut dossier et y était immobilisée par des courroies qui enserraient ses bras et ses poignets, ses chevilles, sa taille, sa poitrine et enfin son front.

Racquel, dont la robe était toujours tire-bouchonnée à la taille et qui n’avait pas remis sa culotte, testait la fermeté des liens qui paralysaient la tête de sa fille.

– Belinda ma chérie… Dit la femme en resserrant la bride d’un cran. L’anneau qui t’empêche de fermer la bouche est flexible. Il te permettra de mâcher, mais pour cela, il faudra que tu contractes les muscles de tes mâchoires de toutes tes forces, sinon il t’obligera à garder la bouche grande ouverte. Elle se pencha contre l’oreille de la jeune fille et murmura : C’était très impoli de refuser de lécher l’anus de d’Angela hier après midi… Heureusement pour toi, tu es une petite fille très chanceuse : Ce soir, Cassandra a promis de te nourrir, j’espère que tu réalises comme c’est gentil de sa part.

– En plus, nous avons suivi un régime très diététique, donc ça sera particulièrement sain pour toi. Rajouta Angela. Et peut-être que la prochaine fois que je te demanderai de m’enfoncer ta langue dans le cul, tu n’hésiteras pas et que tu obéiras aussitôt sans réfléchir. Et j’espère que tu apprécieras l’honneur que je te fais. Rajouta-t-elle.

En quittant la pièce, les femmes entendirent des hauts-le-cœur et Cassandra qui déclarait :

– Miam-miam. Et maintenant, si tu manges ce gros morceau sans faire d’histoires, je te donnerai une bonne grosse gorgée de cet excellent jus d’abricot.

Par Perverpeper - Publié dans : Bédés - Communauté : Perversions lesbiennes
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Mardi 4 mai 2 04 /05 /Mai 05:50

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Racquel était proche de la jouissance, elle leva les jambes en prévision de l’orgasme dévastateur qu’elle sentait monter.

Le visage de Belinda était toujours emprisonné contre la chatte trempée de sa mère. La jeune fille était au bord de la nausée, sa maman jouissait et les muscles de son ventre tremblaient au rythme des convulsions de son vagin qui déchargeait à la fois ses jus et ses émissions menstruelles. Les secretions étaient si abondantes qu’elle n’arrivait pas à tout avaler, si bien que le mélange acide jaillissait de son nez et éclaboussait le pubis artistiquement taillé de Racquel.

– Bois ça, salope et arrête de racler mon clitoris avec tes putains de dents. Avale tout, je suis sûre que tu adores ça n’est-ce pas ? Lança Racquel en jouissant comme jamais.

– Oh mon dieu Racquel, tu es une maman si attentionnée. Et toi Belinda, tu as vraiment de la chance d’avoir des parents qui s’occupent aussi bien de toi. Gémit Angela qui n’en pouvait plus. Maintenant avale, salope. Avale tout ce que ta mère à la bonté de te donner et fais attention à ces vilaines dents.

Lorsque Racquel fut enfin soulagée, Angela et George emmenèrent Belinda dans la salle de bain pour la laver. Puis Angela lui fit revêtir un corset ressemblant à ceux que portaient certaines hotesses dans des clubs très speciaux. Il était garni de fourrure à la taille et elle le serra à l’extrême, coupant la respiration de la jeune fille. Puis elle ajouta une paire de bas en nylon blancs et des chaussures noires vernies avec des talons de cinq centimètres.

Puis elle fut reconduite au salon où Racquel attendait, fumant une cigarette les yeux dans le vague. Angela lui écartela largement les genoux à l’aide d’une barre de contrainte qu’elle fixa à deux gros bracelets en cuir dont elle se servit pour assujettir implacablement les jambes de la jeune fille contre ses cuisses. Ses nichons qui étaient toujours emprisonnés par les bandes elastiques passaient à travers les deux ouvertures qui remplaçaient le soutien-gorge du corset.

– Et maintenant c’est l’heure de mon petit tour de cheval. Siffla Angela avec un grand sourire.

Elle sortit deux étriers de son sac et les attacha à chacun des cordons qui enserraient ses tétons.

– Voici exactement ce qu’il faut pour cette petite pouliche. Rajouta-t-elle.

Et elle demanda à George d’attacher les bras de sa fille dans son dos.

Agenouillée, Belinda fut alors poussée en arrière, de façon à ce que ses épaules et sa tête soient appuyées sur le fauteuil.

Angela souleva sa jupe et s’assit sur le visage de la jeune fille. Sadiquement, elle passa ses pieds dans les étriers. Tendant méchamment les liens qui les reliaient aux tétons de Belinda, elle plaça ses pieds de part et d’autre du buste de sa victime. Elle s’était emparée d’une cravache qu’elle abattit violemment sur le pubis sans défense de sa proie.

Racquel assistait à la scène avec un sourire de contentement sur les lèvres. Sa main droite empaumait distraitement son propre sexe.

George venait de sortir son pénis, tendu à l’extrême, de son pantalon et l’avait empoigné fermement.

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– Plus profond, espèce de petite salope. Je veux que ta langue pénètre tout au fond de mon cul, je sais que tu adores ça. Fais l’amour avec mon cul, petite chienne. Ordonna Angela, les lèvres pincées. Je suis sûre que tu vas rapidement apprendre à ne plus pouvoir t’en passer. Maintenant, attention à tes dents et occupe-toi de ma chatte.

Elle recommença à abattre la cravache sur le sexe exposé de Belinda, encore et encore.

– Plus profond, salope. Vraiment plus profond, voilà comme ça. Lèche ma chatte petite chienne, fais-lui un gros baiser bien baveux.

Les plaintes et les larmes de Belinda ne faisaient qu’augmenter son plaisir, faisant vibrer sa chatte. Elle sentait son orgasme monter.

– Ooooohhhhh monnn dieuuuu ! Ouiiiii ! Hurla-t-elle.

Elle se mit à agiter son bassin dans tous les sens, frottant son cul et sa chatte sur tout le visage de la jeune fille qui sanglotait. Sous la violence du plaisir, elle se redressa à moitié, prenant appui sur les étriers, faisant hurler Belinda de douleur. Enfin elle se rassit sur le visage de Belinda et profita des derniers assauts de son orgasme sur la bouche de sa victime.

Par Perverpeper - Publié dans : Bédés - Communauté : Perversions lesbiennes
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Samedi 1 mai 6 01 /05 /Mai 10:07

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Racquel enjamba les jambes de sa fille et s’assit sur ses cuisses, de face. Ce poids supplémentaire anéantit les dernières forces de Belinda, l’obligeant à descendre inéluctablement le long du membre roide de George qui était inséré entre ses fesses.

La jolie brune dégraffa le devant de sa robe et attira la tête de la jeune fille vers elle, forçant sa bouche, forcée par l’anneau, à se poser sur son sein droit.

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– Hmmm ! Sers-toi de ta langue et fais-moi bien mouiller. Souffla Racquel. Et quand papa aura fini son affaire, j’aurais quelque chose de bien baveux pour toi.

Elle s’assura que la jeune fille était bien calée contre son mari, le dos légèrement arrondi.

George avait agrippé les fesses de sa femme à deux mains et la tirait vers lui tout en allant et venant profondément dans le cul chaud et serré de Belinda. Celle-ci, les yeux écarquillés, regarda plaitivement sa mère que l’excitation rendait hystérique. Son regard trahissait toute la douleur et la terreur qui dévastaient son esprit.

Angela monta sur le canapé et empoigna les cordons en cuir qui pendaient au bout des seins de la jeune fille. Elle les tira brutalement vers le haut, étirant les mamelles allongées par les élastiques qui les garnissaient et les fit passer de part d’autre du cou de Belinda. Puis elle tira de toutes ses forces, les étirant au maximum et noua les liens entre eux.

– Regarde ma chérie, ils sont tellement plus beaux comme ça, en plus les garçons ne seront plus autant tentés de te peloter en permanence. Chuchota Racquel dans l’oreille de sa fille. Il faudra que tu penses à remercier Angela de s’occuper aussi bien de toi. Continua-t-elle en décrochant un sourire ravi à sa voisine.

Quelques minutes plus tard, Racquel avait pris position dans un fauteuil. Son bassin était suffisament avancé pour que ses fesses débordent légèrement du fauteuil. Elle avait les genoux largement écartés et ses talons reposaient sur les fesses de sa fille, profondément enfoncés dans la chair tendre de Belinda.

La jeune fille était prosternée entre les jambes de sa mère et sa bouche était plaquée contre l’entrecuisse offert. Les larges lèvres sexuelles de la femme recouvraient une partie de ses joues et son nez était enfoui dans la toison, écrasé par la pression que Racquel exerçait sur la tête de sa fille en tirant vigoureusement sur sa queue-de-cheval.

Belinda se trouvait dans une position très inconfortable : En équilibre sur les mains et les genoux, ses pieds étaient relevés contre ses fesses, maintenus par les liens que son père avait reliés aux cordons fixés sur ses pointes de seins. Sa poitrine avait été étirée par-dessus ses épaules et le talon de son escarpin gauche était fixé, dans son dos, à son téton droit tandis que celui de son autre escarpin étirait douloureusement le gauche. La douleur était telle qu’elle s’épanchait à chaudes larmes contre la vulve de sa mère. Si elle tentait de détendre les muscles de ses jambes soumis à rude épreuve, elle accentuait la douleur infligée à ses tétines rendues déjà violettes par les tourments qu’elles enduraient. Pour ajouter à la précarité de son équilibre, ses bras étaient étroitement liés l’un à l’autre par de grosses couroies en cuir, l’une à hauteur de ses coudes et l’autre à hauteur des poignets.

George s’était agenouillé derrière elle et poussait méchament un énorme godemiché entre ses fesses, tentant de l’introduire dans l’adorable petit anus qu’il convoitait. Il espérait que cela le dilaterait suffisament pour qu’il puisse accueillir sa grosse bite dans de meilleures conditions la prochaine fois.

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À côté du fauteuil de Racquel, il y avait une petite table sur laquelle étaient posés une lampe et un gros cendrier au milieu duquel se trouvait un tampax souillé dont la ficelle reposait sur le bord.

Angela se tenait à côté, penchée vers l’avant, dans une position qui faisait ressortir son gros cul. Elle avait baissé sa robe sur ses cuisses et était en train d’ôter sa culotte.

– Hmmm, mon dieu Angela, frappe la encore. Je veux qu’elle m’enfonce sa langue à fond… Bordel, je suis tellement excitée quand j’ai mes règles. Souffla Racquel en serrant les dents.

Une vague de plaisir lui fit jeter sa tête en arrière.

– Bien sûr ma chérie, je ferai tout ce qui pourra t’aider à jouir plus vite, j’attends mon tour avec tellement d’impatience. Répondit Angela, un sourire vicieux sur les lèvres.

Et elle frappa le dos de la jeune fille avec sa main droite. Six coups violents dont chacun laissa une marque sur la peau de Belinda.

– Aie ! Bon sang ! Et toi, fais gaffe à tes dents petite salope ! Hurla Racquel.

Les dents de sa fille venaient de mordre son petit clitoris.

Par Perverpeper - Publié dans : Bédés - Communauté : Perversions lesbiennes
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Mardi 27 avril 2 27 /04 /Avr 23:29

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Belinda fut forcée à s’étendre le dos contre le canapé. Les cylindres, maintenus par l’effet de ventouses, aspiraient l’intégralité de ses petits seins, tels deux bouches avides qui les distendaient douloureusement.

On attacha étroitement ses mollets contre ses cuisses et Angela boucla le harnais d’un godemiché ceinture autour de sa taille. Puis elle demanda à Racquel de l’enjamber et de s’enfiler le membre factice en faisant attention de ne pas arracher les tuyaux qui aspiraient toujours les seins de leur victime.

Racquel releva sa robe et ôta sa culotte. Puis elle enjamba le corps de sa fille et s’apprêta à s’empaler lorsqu’elle déclara : 

– Mon dieu ! J’avais oublié mes règles…

 Elle attrapa le petit cordon entre le pouce et l’index, extirpa le tampon souillé de rouge et d’humeurs pour le mettre dans le cendrier qui se trouvait à côté de l’un des accoudoirs du canapé.

George avait empoigné les cheveux de Belinda et maintenait fermement sa tête en arrière tout en dégrafant fébrilement son pantalon. Son érection était telle qu’il eut du mal à arriver à ses fins.

Pendant ce temps, Angela introduisit de force un anneau assez volumineux, équipé d’un harnais, dans la bouche de la jeune fille et le fixa autour de sa tête à l’aide des sangles prévues à cet effet. Puis elle rabattit sa tête en arrière sur l’accoudoir du canapé et la maintint en place en en la crochetant par les cheveux et la gorge.

George s’arc-bouta au-dessus de la tête de sa fille et usa de tout son poids pour tenter d’introduire son sexe dans la bouche maintenue ouverte par l’anneau, mais il rencontra une difficulté innatendue :

Malgré la position d’offande, les incisives de la jeune fille faisaient obstruction. Son excitation était telle qu’il écorcha presque la muqueuse de son gland lorsqu’il parvint à forcer le passage de quelques centimètres. La peau du prépuce était tendue à l’extrême, donnant à son sexe une apparence plus massive et tendue qu’il n’était en réalité.

Compatissante, Angela échangea l’anneau contre un autre plus large qui donna de meilleurs résultats. Pourtant, les dents de Belinda continuèrent à racler la verge de son père lorsqu’il se mit à effectuer de furieux aller-retours au fond de sa gorge.

Racquel s’était empalée sur le godemiché et s’agitait comme une folle, excitée à l’extrême par le spectacle de son mari violant la bouche de sa fille. Son plaisir augmenta si rapidement, qu’elle s’obligea à ralentir un peu pour ne pas jouir immédiatement.

 Angela était agenouillée contre le canapé, elle tirait de toutes ses forces sur la queue de cheval de Belinda. Elle forçait la tête de la jeune fille à s’incliner en arrière de façon à ménager à son père le meilleur accès à sa bouche et à sa gorge.

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 – Ooooooh regardez-moi ces vilain crocs. Ça n’ira pas, même si on met un anneau plus grand, elles seront toujours en travers du chemin. Dit Angela en s’approchant à quelques centimètres du visage de Belinda.

 – Hmmm ! Aaahh ! C’est vrai, ça fait un mal de chien. Souffla George. Mais que peut-on y faire ? Rien malheureusement. Ooooh !!!

 – Oh mais si, il y a plein de solutions. Persifla Angela. Laissez-moi passer quelques coups de téléphone.

 – Oui ? Ça serait merveilleux. Gémit Racquel en continuant à aller et venir sur le godemiché. Je suis sûre que papa aimerait beaucoup ça, mais en attendant, nous allons devoir nous contenter des "moyens du bord" Rajouta-t-elle en poussant un rire aigu.

 – Oh oui, absolument ma chérie. J’ai envie de tester ce petit cul, aidez-moi à la mettre en position. Répondit George en s’asseyant au milieur du canapé.

 Ils ôtèrent le godemiché et les deux femmes soulevèrent une Rebecca gémissante et plus rebelle, pour l’installer au-dessus de son père. Celui-ci ajusta son pénis tendu à l’extrême et le positionna à l’entrée de l’anus étroit et crispé. Lentement, elles firent coulisser la jeune fille sur la grosse bite avant de la laisser s’effondrer en arrière contre le torse de son père.

 – Aaaaaiiie ! Aaaaaahhhhh ! Ooooh ! Ouuuuiiilllle.

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 – Silence maintenant petite chérie. Dit Angela en arrêtant la pompe. Ta mère et moi allons enlever ces vilaines choses de tes mamelles. Ne bouge surtout pas et efforce-toi plutôt de décrisper ton mignon petit trou du cul.

Les deux femmes ôtèrent délicatement les deux cylindres en verre et firent rouler les bandes élastiques sur la chair distendue, les espaçant de quelques centimètres. Lorsqu’elles eurent terminé, les petits seins étaient devenus méconaissables, ressemblant plus à de longs pis prolongés par des tétines démesurément longues. Pour finir, elles lièrent un cordon de cuir autour de chaque téton.

– Elle sera tellement plus mignonne dans ses vêtements d’école, lorsque ses vilains petits nichons ne seront plus visibles. Vous ne croyez pas Racquel ?

– Oh mon dieu si. Répondit Racquel d’une voix pantelante en frottant ses cuisses l’une contre l’autre. Je vois ce que vous voulez dire. Maintenant, ces vilains petits nichons provocants pourront être dissimulés élégamment. Angela, vous êtes un génie.

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Mardi 27 avril 2 27 /04 /Avr 10:25

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– Il faut que cela cesse immédiatement ! Prétendit Angela Grisham. Je pense que vous devriez chasser cet indécent jeune homme et faire rentrer cette petite vicieuse chez elle. Nous pourrions lui enseigner quelques règles… J’ai chez moi quelques accessoires qui seraient susceptibles de nous être très utiles.

 

– Nous sommes tout à fait d’accord avec vous. Siffla Racquel Singer. Cette petite salope a tout simplement grandi trop vite et il faut remédier à ça. Demain, ça sera trop tard. Continua-t-elle.

 

– Oui, elle exhibe ses charmes comme une putain. Déclara Angela. À mon avis, elle a besoin d’une bonne leçon, et vous, en tant que parents, vous avez un devoir évident d’éducation. Je dirai même de dressage. Je serai plus qu’heureuse de vous y aider, j’ai une grande expérience de ce genre de petite salope.

 

Angela commençait à s’exciter. Ses pointes de seins étaient devenues tellement dures qu’elle avait l’impression qu’elles essayaient de passer à travers son soutien-gorge. Elle sentait une légère démangeaison au niveau de l’entrejambe et sentait une humidité caractéristique la gagner.

 

– Je vais faire un saut chez moi et ramener quelques ustensiles qui nous seront très utiles pour soumettre cette petite vicieuse. Dit-elle avec un sourire de satisfaction.

 

– Oui, s’il vous plaît. Nous ne pouvons pas accepter ce comportement. Elle était si gentille quand elle était petite, pas ce genre de salope. Lança Racquel tandis qu’Angela quittait la pièce.

 

George sortit dans le jardin, s’approcha du couple enlacé et décrocha un direct droit dans la mâchoire du garçon. L’effet du coup le projeta en arrière où il s’écroula sur la pelouse en tenant son nez ensanglanté.

Satisfait de lui, le père empoigna Belinda par son poignet et la traîna fermement jusqu’au salon où sa femme l’attendait, les bras croisés.

Il rabattit les bras de sa fille dans son dos et les maintint fermement pendant que Racquel en profitait pour déchirer les pans du corsage de la jeune fille et le lui arracher avant de donner une claque vicieuse sur son sein gauche. Une vilaine empreinte de main apparut sur la chair tendre de Belinda.

Les Singers étaient toujours en train de vociférer contre leur fille lorsque Angela revint avec un grand sac marin qui continuait "quelques objets indispensables".

 

– Oui, Racquel chérie, continue à punir ces vilains petits tétons. Ils sont la cause de tout. C’est à cause d’eux que les garçons la désirent, ce sont eux qui la poussent à se comporter comme une chienne en chaleur. S’enthousiasma-t-elle d’une voix moqueuse.

 

Elle sortit de son sac un manchon en cuir de la longueur d’un bras.

 

– Continue à attendrir ces jolies mamelles, parce que j’ai ramené l’instrument idéal pour le traitement qu’ils méritent.

 

Belinda pleurait à chaudes larmes. Elle ne comprit pas pourquoi son papa et sa maman l’obligèrent à enfiler ses bras, dans son dos, à l’intérieur du manchon que venait de ramener la voisine. Une fermeture-éclair robuste et quelques sangles les immobilisèrent l’un contre l’autre, sans qu’elle puisse les libérer de quelque façon que ce soit.

 

Ensuite, Angela sortit un instrument dont elle certifia qu’il serait très utile à la transformation de Belinda. Il s’agissait d’une pompe à vide électrique, très puissante. L’appareil était relié à deux long cylindres en verre par des petits tuyaux. Chaque cylindre mesurait une vingtaine de centimètres de long sur près de trois centimètres de diamètre. Ils étaient tous deux équipés de six petites couroies en caoutchouc élastique, espacées de quelques centimètres chacune. Elles avaient pour but de remplacer les cylindres, une fois qu’on les aurait ôtés et, en les espaçant de quelques centimètres, de maintenir la poitrine dans les mêmes proportions que l’avaient fait les cylindres.

Angela étala une couche de lubrifiant sur chacun des petits seins de Belinda et plaça les tubes au niveau des tétons de la jeune fille. Ausitôt, la pompe commença à aspirer la chair tendre et malléable à l’intérieur des cylindres. Lentement, ils comblèrent le vide créé par la pompe.

 

– Aiiie ! Maman, s’il te plaît, ça fait mal ! Je n’ai rien fait, pourquoi me faites-vous ça ? Bégaya-t-elle à travers ses larmes.

 

Angela et Racquel affichaient des sourires diaboliques et George serrait les dents en employant toutes ses forces à serrer les couroies qui maintenaient les bras de sa fille prisonniers du manchon.

 

– Parce qu’ainsi il sera beaucoup plus facile de s’occuper de tes petits nichons… Et aussi de ne plus les exposer à la vue de tout le monde. Lui répondit Angela en élevant la voix pour couvrir les reniflements de la jeune fille.

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– Exactement ! Renchérit Racquel d’une voix rêveuse. Il faudra que nous renouvelions entièrement ta garde-robe… Une garde-robe très particulière.

 

En constatant la bosse obscène qui déformait le pantalon de George et la façon dont les tétons de Racquel pointaient à travers sa robe, Angela fût persuadée que les Singers apréciaient autant qu’elle les tourments qu’ils faisaient subir à leur fille. Elle s'empara de son matériel de torture et déclara :

 

– Traînez cette petite salope sur le canapé. Je pense qu’il est temps qu’elle récompense papa et maman.

 

Par Perverpeper - Publié dans : Bédés - Communauté : Perversions lesbiennes
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