Bédés

Dimanche 25 avril 7 25 /04 /Avr 23:52

Attention, cette bédé contient des propos et des situations qui pourraient choquer la sensibilité de certains lecteurs. En lisant l'intégralité de ces 6 articles vous vous engagez à en accepter les conditions. Si cela n'était pas le cas, veuillez avoir l'obligeance de fermer cette fenêtre immédiatement.

Penitence 01-1 

Texte de Caroline/Norgil et adaptation française par Perverpeper.

Dessins de Nilsson. 

 

Les Singers étaient un couple croyant et pratiquant. Ce jour, ils recevaient la visite de leur voisine Angela Grisham et lui avait offert un café.

Racquel Singer était brune, elle avait 44 ans, mesurait environ 1m65, avait une poitrine généreuse, était plantureuse et n’était pas sportive pour deux sous. En fait, elle détestait travailler et son mari George n’y prenait pas plus de plaisir qu’elle.

Elle s’habillait de façon plutôt classique et triste. Cet après-midi, elle portait une robe passée de mode, mais sous laquelle elle n’avait pas manqué d’enfiler une paire de bas, un porte-jarretelles et des talons hauts. Elle amait porter ce genre de sous-vêtements, d’autant plus qu’elle savait que cela excitait considérablement son mari, chaque fois qu’il pouvait contempler la lisière d’un de ses bas.

George avait 45 ans et mesurait près d’1m80. Sa chevelure noire s’était plutôt clairsemée avec les années et les kilos avaient donné un peu de volume à son ventre. En contrepartie, il avait un torse très poilu dont la virilité ainsi que la taille de son gros sexe veiné plaisaient énormément à Racquel. Malgré ses quelques 14 kilos de trop, il avait conservé la puissante muculature que de longues années en tant que charpentier lui avaient conférée.

– … Et comme je vous le disais, les jeunes filles d’aujourd’hui n’ont plus aucun respect. Elles s’habillent incorrectement et font étalage de leurs charmes devant tous les hommes qu’elles rencontrent sans aucune pudeur. Poursuivit Angela Grisham.

 penitence01

Visiblement, elle était particulièrement outrée par le comportement des adolescentes.

Angela Grisham avait 53 ans, elle mesurait 1m70 et ses cheveux gris étaient réunis en chignon. Sa silhouette était imposante mais encore sexy, elle portait un ensemble élégant et des talons.

Elle attrapa sa tasse de café et ajouta :

– Elles n’ont aucun respect pour leurs parents ou leurs aînés.

– Pas notre Belinda. Répondit Racquel Singer.

Elle offrit un autre cookie à Angela.

– Même si je regrette qu’elle ne soit plus le petit ange qu’elle était. Adorable, obéissante, secourable et cherchant toujours à faire plaisir aux autres.

George Singer avala une bouchée de gâteaux et rajouta :

– Je suis de l’avis de ma femme, Angela, mais du vôtre aussi. Je dois admettre qu’elle a tendance à se pavaner presque nue dans la maison presque tous les jours. Pourtant, ça n’est plus une petite fille et elle a un corps de femme maintenant. Un petit corps très sexy je dois dire et… Hem.

George était devenu tout rouge et son regard passa de sa femme à Angela. Les deux femmes se regardèrent à leur tour et éclatèrent de rire.

– Espèce de vieux pervers ! Le railla Racquel

Et elle lui donna une petite claque affectueuse sur la cuisse.

– Être excité par le joli petit cul de ta propre fille…

George la fixa en repensant aux débuts de leur union, les fêtes parfois débauchées auxquelles ils avaient participé et son penchant pour les jeunes étudiantes qu’elle côtoyait en ce temps.

– Et toi ! Ne me dis pas que tu ne l’as jamais regardée. Répondit-il avec une lueur lubrique dans les yeux. Je suis sûr qu’elle t’émeut autant que moi et que tu mouilles lorsqu’elle sort, entièrement nue, de la salle de bain. 

Angela sourit intérieurement et se dit que les Singer semblait moins prudes qu’à première vue. De plus, elle remarqua que Racquel n’était pas très à l’aise après la remarque de George, et qu’elle faisait semblant de ne pas l’avoir entendue.

Tout en conversant, Angela jeta un œil sur Belinda, la fille des Singer, qui se trouvait dans le jardin. Elle embrassait Jeremy Sutton, qui devait être d’environ deux ans son aîné, à pleine bouche.

Belinda venait juste d’avoir 18 ans et mesurait 1m55. Elle était blonde et très mignonne avec d’adorables petits seins naissants. Son partenaire ne se privait pas de peloter outrageusement son sein gauche avec la main qu’il avait passée sous son corsage blanc.

Angela trouvait le comportement de l’adolescente offensant, pour elle s’étaient les manières d’une petite salope et un coup d’œil vers ses voisins lui permit de se rendre compte qu’ils pensaient la même chose qu’elle. Ils paraissaient embarrassés qu’elle ait été témoin de cet incident.

Par Perverpeper - Publié dans : Bédés - Communauté : Perversions lesbiennes
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Jeudi 3 septembre 4 03 /09 /Sep 18:51
Puis il lance deux séries ayant pour cadre les Etats-Unis. "Billie and Betty" et "Le Clan".
Avec Manuel Lizay au scénario, Billie and Betty (4 albums) est encore proche de ses précédentes créations par l’apport du noir (tout au moins dans le premier épisode) et nous permet de replonger dans le monde des amours féminines.


Dans l'épisode n°1, Betty May, une jeune diplômée de 19 ans, devient la secrétaire de Jessica Hell, sulfureuse romancière américaine qui recherche des collaboratrice intimes.


C’est en attendant son tour qu’elle fait la connaissance de Billie, une jolie brune qui, elle aussi, espère bien entrer au service de la femme de lettre. 


Le tempérament particulièrement chaud des deux jeunes femmes leur permet de passer avec succès les épreuves mises au point par le cerveau diabolique et pervers de la romancière. 


Ainsi débute ce récit ou saphisme et sadisme n’empêchent pas les deux jeunes héroïnes d’avoir des liaisons plus classiques,


d’autant plus que de nouvelles créatures embauchées par Jessica, les entraînent dans l’underground de New York où règne la débauche la plus totale. 


Afin de ne pas abuser les lecteurs de Jo Cordès, Jean Pailler signe cette nouvelle création, des plus hard, du nouveau pseudonyme de Alan Davis.
Par Perverpeper - Publié dans : Bédés - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 29 août 6 29 /08 /Août 09:22

En 1982, avec Henef au scénario, il publie "Casse-tête pour Mike Dupont" dans Bédéadult.


Un privé est contacté par un mari dont la femme a disparu


Une bédé au cours de laquelle (une fois n’est pas coutume) ce sont les femmes qui maltraitent les hommes (à propos de perversion féminine...) 


Malheureusement, tout comme "les fils de la violence", ce privé sympathique fera une brève carrière. 

 

Par Perverpeper - Publié dans : Bédés - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 25 août 2 25 /08 /Août 14:42

C’est dans "Sex-Bulles", petit frère de "BédéAdult",

 

qu’il débute avec le personnage de Marie-Paule,

   

Alias Iris. Jeune étudiante de 16 ans, elle est mêlée, bien malgré elle, à une affaire de trafic d’armes dans le cadre de l’occupation allemande en 1943. C’est dans cette tourmente qu’elle découvre l’amour sous toutes ses formes, offrant son corps à l’occupant afin que son pays retrouve la liberté.

Voici le résumé figurant en deuxième page de couverture du deuxième opus :
Marie-Paule, jeune étudiante de 16 ans, se trouve, malgré elle, mêlée à une affaire de trafic d’armes sous l’occupation allemande en 1943. Accusée par la résistance d’avoir revendu les armes pour son propre compte, elle est soumise à la torture et à des services secrets (de la part des services secrets*). Ensuite, ceux-ci l’obligent à travailler pour eux, c’est-à-dire séduire de hauts dignitaires allemands pour leur soutirer des renseignements. Mais au milieu du vice et de la perversion, elle réussit à conserver ce à quoi tient le plus une jeune fille de bonne famille : son pucelage vaginal, sa fleur, qu’elle nomme "IRIS".



D’un trait souple aux décors soigneusement rétros, Jean Pailler, qui signe sous le pseudonyme de Jo Cordès, campe des personnages moins caricaturaux que dans ses travaux pour Pilote. Iris est, pour sa part, franchement réaliste avec son corps bien en chair, ses seins ronds et fermes, ses cuisses accueillantes et ses longs cheveux blonds de jeune fille sage.


Très vite, elle devient femme et découvre l’homme et le plaisir. Après une seconde aventure sous l’occupation, elle retrouve la France de l’après guerre qui l’entraîne sur le trottoir au cours d’un dernier épisode. Espérons qu’un prochain Jo Cordès reprendra le crayon afin de nous faire connaître les nouvelles aventures d’Iris, abandonnée enceinte sur le macadam parisien. Bien que la troisième aventure soit plus érotique que les deux premières, Iris demeure une héroïne de transition dans la carrière de Jean Pailler qui, au fil des planches, se sent de mieux en mieux dans la peau du dessinateur pour la presse adulte qu’il est devenu un peu malgré lui.

 


Le lecteur remarquera que le troisième opus met en scène une partie des fantasmes qui présideront tout au long de la série des Billie and Betty :
Sado-masochsime, lesbianisme, muti-partenaires, interracial etc. (*).

(*) Note du blogueur. 

 

Par Perverpeper - Publié dans : Bédés - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 24 août 1 24 /08 /Août 23:20

Passionné de mécanique, il propose à "BédéAdult" une nouvelle série où les gros cubes jouent un rôle de premier plan, Les fils de la violence.


Le scénario de Juan Soltero nous entraîne dans la périphérie de Paris où vivent des bandes organisées qui ne pensent qu’à voler, détruire et violer. Elles trouveront pourtant quelques filles pour les suivre, le plus souvent séduites par leurs prouesses sexuelles. Les amateurs de grosses cylindrées et de chevauchées sauvages se régaleront (*).

 


 

Un sujet fort, des personnages chocs, une atmosphère de fin du monde qui convient tout à fait à Jo Cordès qui propose des images superbes et violentes où les scènes hard sont nombreuses et réalistes.


La série ne remporte pourtant pas un franc succès et Cordès laissa ses héros à leurs monstres mécaniques afin de se consacrer à d’autres histoires (et c'est bien dommage*).


(*) Note du blogueur ;-) 

 

Par Perverpeper - Publié dans : Bédés - Communauté : Arts érotiques
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