Mardi 27 avril 2 27 /04 /Avr 10:25

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– Il faut que cela cesse immédiatement ! Prétendit Angela Grisham. Je pense que vous devriez chasser cet indécent jeune homme et faire rentrer cette petite vicieuse chez elle. Nous pourrions lui enseigner quelques règles… J’ai chez moi quelques accessoires qui seraient susceptibles de nous être très utiles.

 

– Nous sommes tout à fait d’accord avec vous. Siffla Racquel Singer. Cette petite salope a tout simplement grandi trop vite et il faut remédier à ça. Demain, ça sera trop tard. Continua-t-elle.

 

– Oui, elle exhibe ses charmes comme une putain. Déclara Angela. À mon avis, elle a besoin d’une bonne leçon, et vous, en tant que parents, vous avez un devoir évident d’éducation. Je dirai même de dressage. Je serai plus qu’heureuse de vous y aider, j’ai une grande expérience de ce genre de petite salope.

 

Angela commençait à s’exciter. Ses pointes de seins étaient devenues tellement dures qu’elle avait l’impression qu’elles essayaient de passer à travers son soutien-gorge. Elle sentait une légère démangeaison au niveau de l’entrejambe et sentait une humidité caractéristique la gagner.

 

– Je vais faire un saut chez moi et ramener quelques ustensiles qui nous seront très utiles pour soumettre cette petite vicieuse. Dit-elle avec un sourire de satisfaction.

 

– Oui, s’il vous plaît. Nous ne pouvons pas accepter ce comportement. Elle était si gentille quand elle était petite, pas ce genre de salope. Lança Racquel tandis qu’Angela quittait la pièce.

 

George sortit dans le jardin, s’approcha du couple enlacé et décrocha un direct droit dans la mâchoire du garçon. L’effet du coup le projeta en arrière où il s’écroula sur la pelouse en tenant son nez ensanglanté.

Satisfait de lui, le père empoigna Belinda par son poignet et la traîna fermement jusqu’au salon où sa femme l’attendait, les bras croisés.

Il rabattit les bras de sa fille dans son dos et les maintint fermement pendant que Racquel en profitait pour déchirer les pans du corsage de la jeune fille et le lui arracher avant de donner une claque vicieuse sur son sein gauche. Une vilaine empreinte de main apparut sur la chair tendre de Belinda.

Les Singers étaient toujours en train de vociférer contre leur fille lorsque Angela revint avec un grand sac marin qui continuait "quelques objets indispensables".

 

– Oui, Racquel chérie, continue à punir ces vilains petits tétons. Ils sont la cause de tout. C’est à cause d’eux que les garçons la désirent, ce sont eux qui la poussent à se comporter comme une chienne en chaleur. S’enthousiasma-t-elle d’une voix moqueuse.

 

Elle sortit de son sac un manchon en cuir de la longueur d’un bras.

 

– Continue à attendrir ces jolies mamelles, parce que j’ai ramené l’instrument idéal pour le traitement qu’ils méritent.

 

Belinda pleurait à chaudes larmes. Elle ne comprit pas pourquoi son papa et sa maman l’obligèrent à enfiler ses bras, dans son dos, à l’intérieur du manchon que venait de ramener la voisine. Une fermeture-éclair robuste et quelques sangles les immobilisèrent l’un contre l’autre, sans qu’elle puisse les libérer de quelque façon que ce soit.

 

Ensuite, Angela sortit un instrument dont elle certifia qu’il serait très utile à la transformation de Belinda. Il s’agissait d’une pompe à vide électrique, très puissante. L’appareil était relié à deux long cylindres en verre par des petits tuyaux. Chaque cylindre mesurait une vingtaine de centimètres de long sur près de trois centimètres de diamètre. Ils étaient tous deux équipés de six petites couroies en caoutchouc élastique, espacées de quelques centimètres chacune. Elles avaient pour but de remplacer les cylindres, une fois qu’on les aurait ôtés et, en les espaçant de quelques centimètres, de maintenir la poitrine dans les mêmes proportions que l’avaient fait les cylindres.

Angela étala une couche de lubrifiant sur chacun des petits seins de Belinda et plaça les tubes au niveau des tétons de la jeune fille. Ausitôt, la pompe commença à aspirer la chair tendre et malléable à l’intérieur des cylindres. Lentement, ils comblèrent le vide créé par la pompe.

 

– Aiiie ! Maman, s’il te plaît, ça fait mal ! Je n’ai rien fait, pourquoi me faites-vous ça ? Bégaya-t-elle à travers ses larmes.

 

Angela et Racquel affichaient des sourires diaboliques et George serrait les dents en employant toutes ses forces à serrer les couroies qui maintenaient les bras de sa fille prisonniers du manchon.

 

– Parce qu’ainsi il sera beaucoup plus facile de s’occuper de tes petits nichons… Et aussi de ne plus les exposer à la vue de tout le monde. Lui répondit Angela en élevant la voix pour couvrir les reniflements de la jeune fille.

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– Exactement ! Renchérit Racquel d’une voix rêveuse. Il faudra que nous renouvelions entièrement ta garde-robe… Une garde-robe très particulière.

 

En constatant la bosse obscène qui déformait le pantalon de George et la façon dont les tétons de Racquel pointaient à travers sa robe, Angela fût persuadée que les Singers apréciaient autant qu’elle les tourments qu’ils faisaient subir à leur fille. Elle s'empara de son matériel de torture et déclara :

 

– Traînez cette petite salope sur le canapé. Je pense qu’il est temps qu’elle récompense papa et maman.

 

Par Perverpeper - Publié dans : Bédés - Communauté : Perversions lesbiennes
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