Jeudi 27 août
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Et pour en finir (provisoirement bien sûr) avec ce vaste sujet, je vous propose de faire un petit tour dans l'univers de Kink.com, chez qui cette fameuse perversion féminine consiste à soumettre
une esclave au bon vouloir d'une dominatrice très exigeante.
Kink.com est un groupe qui abrite plusieurs sites web de fétichisme et aujourd'hui, nous allons nous pencher sur PublicDisgrace.
L'une des principales participantes (si ce n'est pas
la principale) s'appelle Princess Donna. Cette jolie et sévère jeune
femme a longuement participé à la renommée du site "Insex", tout d'abord en tant que soumise puis en tant que Maîtresse, et quelle Maîtresse...
Chez PublicDisgrace, elle livre de jolies jeunes femmes à des armées d'hommes et de femmes en rut qui se livrent sur leur
délicieuse victime à toutes sortes d'abus, humiliations, supplices etc... Bien entendu, la Maîtresse, souveraine, ne se prive pas d'en profiter.
Et les soumises dégustent... A chaque vidéo, le même scénario se reproduit, invariablement, avec un cadre différent à chaque fois.
Et aussi des humiliations et des supplices différents. A chaque fois, Princess Donna fait preuve d'une inventivité hors du commun et s'acquitte de sa mission avec beaucoup de brio.
L'exhibition forcée est l'un des fantasmes les plus exploités dans cette série.
Ce site mondialement connu était un "must" pour tous les amateurs de bdsm. Malheureusement, sous la pression de la censure américaine, il a été obligé de fermer et a été racheté par la compagnie allemande "Intersec Europe" à la fin des années 2005.
Coincidence ? Dès 2005, on trouve trace d'une société appelée "Intersec interactive", détentrice des droits.
Soumise dans les premiers clips, Donna sera identifiée par le "numéro 202" puis, après avoir été initiée par le Maître du site (P.D) elle apparaîtra en temps que Maîtresse (Princess Donna).
Elle apparaît notamment dans le clip "Maid to order" où elle maltraite jusqu'à l'extrême une petite bonne dont la fierté et la sensibilité sont mises à rude épreuve.
PP